À toi, mon ego, mon nafs
Si j’ai décidée aujourd’hui, d’écrire ces lignes sous cette jolie pluie,
C’est pour te dire, ô toi mon plus grand ennemi,
Qu’avec l’Islam dans ma vie, toutes ces envies et désirs que tu me mettais à l’esprit,
Ne sont plus que de lointains souvenirs, ô toi mon ego.
Mon nafs, oui c’est à toi que je m’adresse,
Car si je dois parler de la religion qui m’a sauvée des désirs que tu m’imposais,
Du mal que tu me voulais, c’est d’abord à toi, mon ego,
Qu’il faut que je prouve que mon combat contre toi, oui, grâce à ma foi, est facilité,
Mon Dieu, Le Tout Miséricordieux, qui m’a sauvée de tes méchancetés,
Car c’est bien toi, la cause de toute baisse de foi,
De moi, et de tous mes frères et sœurs, qui leur plus gros combat, est bel et bien toi…
Mais aujourd’hui, sans parler d’hier,
Tu es en train de perdre, face à toutes mes prières,
Que mon parfait Islam, m’a appris à faire.
Depuis que j’ai prononcée ces quelques mots, si haut et si fort,
Une phrase si courte, mais qui m’a apportée la sagesse et tout le réconfort,
Quelques mots, qui prononcés avec le cœur,
M’a aidée à te battre, ô toi mon âme, qui m’imposait la rancœur et la haine.
Tu me fais aujourd’hui de la peine,
Ma foi te battra, avec des hauts et des bas.
Ces quelques mots étaient pour toi, toi qui m’apprenais l’orgueil et la vilénie,
L’Islam dans ma vie, une fois de plus ta combattra, en m’imposant, lui, l’humilité et la bonne voie.
Et pour finir, je voudrais te rappeler,
Ces quelques mots qui ont tout changés
La CHAHADA, qui en l’exprimant, me met la joie,
Ach-hadou an la ilaha illa Allah wa ach-hadou anna Mohamadan RassouloulLah
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